Many highly effective names/manufacturers have come collectively for this long-awaited opening contained in the Passage des Panoramas. The Alajmo household (of the three-starred Le Calendre in Padua) have partnered with David Lanher (Racines, Vivant) to transform an engraving store into an Italian restaurant. They’d some assist from designer Philippe Starck, however fortunately not an excessive amount of. The traditionally protected house – a collection of dimly glowing rooms that date again to the sixteenth century – is beautiful. The menu comes primarily from the Alajmo’s native Veneto, with dishes like sarde in saor (candy and bitter sardines, considered one of many cicchetti or tapas on supply), risotto with white truffles, and recent pastas with various ragùs. With some minor complaints (the 45€ risotto was a bit dry), the meals was good, if not fairly ok for the worth. When ordering à la carte, the tab can climb rapidly to greater than 100€ per individual, however a each day lunch menu presents the refuge of 35€ for a starter, the each day pasta, and a espresso. That espresso, chosen by Gianni Frasi of Laboratorio Torrefazione Giamaica Caffè in Verona, is a revelation by Paris requirements. Since they’re open repeatedly from 8:30am to midnight, we’ll definitely be again for a morning caffè, for early night aperitivo, and for that each day lunch particular. The rest might require a sugar daddy.
Sensible data
Tackle: 47 passage des Panoramas, 75002
Nearest transport: Grands Boulevards (8, 9)
Hours: Open Tuesday-Saturday from 9:30am-10:30pm. Closed Sunday & Monday.
Phone: +33 1 75 43 63 10
Web site
Caffè Stern in photos
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Evaluations of curiosity
The Wall Avenue Journal (2014) “Go early for espresso from Gianni Frasi in Verona, cease in for a $40 lunch primarily based round a each day pasta particular, meet associates for a drink, or guide forward for dinner that includes risotto with porcini mushrooms and shaved white truffle or involtini (rolls) of langoustine with bottarga.”
Le Figaro (2014) “Point out spéciale pour le tartare de veau à l’huile fumée et estragon, le risotto aux cèpes et truffe blanche et la côtelette de veau panée à la milanaise. Vins et cocktails parfaits. Mais mamma mia, quels tarifs!”
L’Categorical (2014) “Dès 8h30, il se réveille en caffè italien, où le classique ristretto ou le li per li (petit cappuccino de Trieste) se sirotent escortés d’une brioche à l’huile d’olive. A l’apéro, il se change en bacaro, un style de bar à vins vénitien où l’on succombe au virus du Spritz (bitter, prosecco, eau gazeuse, tranche d’orange) en picorant des cicchetti, ces amuse-gueule en vogue sur le Grand Canal (excellentes sardines en aigre-doux). Au déjeuner et au dîner, il se mue en une trattoria stylish au sex-appeal redoutable.”
Le Figaro (2014) “David Lahner… Massimiliano Alajmo… Philippe Starck venant se frotter à la mémoire autant qu’au décor classé de l’ancien graveur Stern et cette audace de broder un authentique café vénitien au motif parisien.”
Paris Bouge (2014) “On ouvre alors la carte volumineuse pour faire un choix qui sera difficile. Les boissons, tour à tour classiques et surprenantes, pourront à toute heure être accompagnées de cicchetti (tapas à la vénitienne) en cas de petite faim. Pour les plus gros appétits (et porte-monnaies!), on se laissera séduire par des mets étonnants et sophistiqués, comme les délicieuses taglionis aux calamars, homard et bar avec leur sauce aux pistaches.”
Le Figaro (2014) “Le restaurant suggest l’essence de la delicacies vénitienne dont Massimiliano Alajmo, un des meilleurs jeunes cooks italiens (son frère Raffaele et lui sont associés à David), donne une interprétation à la fois classique et contemporaine superbe. Les vins proposés par Mirko en parfaite harmonie avec les mets, racontent de belles histoires. Vous en sortirez après avoir passé un second délicieux.”
Le Fooding (2014) “Le projet était aussi fou qu’excitant: faire de l’ancienne boutique du graveur Stern, joyau du passage des Panoramas, le café le plus halluciné de la capitale. Ressusciter la splendeur des Boulevards au siècle de Tortoni… Et c’est réussi!”
